je suis assez de l'avis de tout ceux qui ont dis quelque chose (ou comment ne pas se faire d'ennemis

), la seule chose avec laquelle j'ai du mal c'est l'optimisme sans borne, il est vrai que notre rôle est de transmettre (même si comme vous le dites bien on est nous même en cours d'apprentissage) mais entre ce que nous tentons de transmettre et : le nombre de personne intéressée réellement / la faculté de reconnaître en nous des personnes qui en "savent plus qu'hollywood" pour le public lambda / notre capacité à casser les idées ressources... J'ai d'énormes doutes. Sans compter que parmis les reconstituteurs, les avis divergent parfois, parmis les scientifiques également, alors quand on prend tout ça en compte deux choses me turlupines :
Quelles sont exactement les capacités de compréhension, les facultés d'analyse, de se remettre en question du public?
Comment s'y retrouver dans la masse d'information qui est souvent contradictoire tous médias confondus?
Déjà nous qui sommes dans les personnes suffisament passionnées pour aller éplucher des sources primaires, nous avons du mal et sommes confrontés à des changement, parfois radicaux, d'interprêtation de nos sources par les "pairs" (j'entends par là, les autres reconstituteurs, autant que la communauté des scientifiques).
Je pense, et c'est le chemin que j'ai choisi dans la reconstitution qu'au final il faut essayer d'écouter un maximum d'avis différents, voir un maximum de sources primaires, afin de faire du tri soi même et c'est ça le plus dur.
Sinon pour ce qu'on communique au public, je m'adapte au public comme je l'ai déjà dis, le public qui veut quelque chose de primaire je lui donne du primaire, celui qui veut réfléchir je lui donne de quoi réfléchir.